Elles ont passé le CAP !

Cindy Rouget

De hôtesse d'accueil à conseillère en orientation professionnelle.

« Après un burn-out, j’ai retrouvé confiance en moi et une voie professionnelle inspirante ! »

Gwenaëlle Soulier

De l'agence de voyage à la parentalité positive.

« J’ai trouvé un projet clair, vibrant et en adéquation avec mes valeurs et ma Vision. »

Audrey Pallez

Évolution de poste : chef de projet en association.

« Ce que j’ai le plus aimé, la boussole et les fiches d’introspection ! »

Fanny Pretet

Du contrôle de gestion à la gestion de carrières.

« Enfin, un bilan qui va en profondeur ! »

Flavien Pretet

De chauffeur de taxi à chef de projet logistique.

« Un bilan idéal pour apprendre à se connaître !« 

Laurence Leuillier

De la création à la décoration de mariage.

« Grâce à la boussole, je me suis redécouverte.« 

Agathe Agostini

De juriste à psychomotricienne.

« À 48 ans, on peut encore se reconvertir, il n’est pas trop tard ! »

MOI AUSSI, JE veux suivre le bilan de compétences CAP

Cindy Rouget
D'hôtesse d'accueil à conseillère en orientation professionnelle
"J’ai retrouvé confiance en moi et une voie professionnelle inspirante!"

Comment te présenterais-tu en quelques mots ?

Cindy, hôtesse d’accueil en arrêt maladie suite à des agressions clientes.

Lorsque j’entre dans le programme bilan de compétences CAP, en mars, c’est dans l’espoir de trouver une nouvelle voie professionnelle qui me correspond.

J’ai beaucoup d’idées en tête, mais impossible d’y voir clair, d’autant que j’ai perdu toute confiance en moi…



Est-ce que quelque chose t’a fait hésiter à rejoindre ce programme ?  

Pas du tout, j’ai vu la conférence de présentation, et je me suis dit, c’est exactement ça qu’il me faut. 

Je l’aurais intégré en autofinancement dans tous les cas, mais en plus c’était accessible via le CPF, donc j’ai foncé.

 

Comment as-tu vécu ton expérience dans ce programme ?

J’ai vraiment adoré le fait que ce soit très bien structuré, et qu’il y ait des visio régulières avec la consultante.

J’ai aussi apprécié les documents hyper bien faits et faciles à comprendre.

 

La chose la plus précieuse que tu as apprise ?

La clarté : j’avais beaucoup de choses en tête, et assez rapidement, grâce aux sessions, une voie s’est dégagée pour moi. 

Que ce soit le test, la boussole, je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi clair pour moi en aussi peu de temps !!!

(Note : le programme dure 10 semaines, et c’est souvent à mi-chemin que des options se dégagent…)

 

Quel est LE projet qui se dégage pour toi à l’issue du programme ?

Après avoir exploré plusieurs voies, je me suis arrêtée sur un métier qui me correspond en tous points : Conseillère en insertion professionnelle et orientation auprès d’un public jeune.

Je garde la possibilité de m’orienter ensuite vers le métier de conseillère en orientation professionnelle en mode entrepreneurial. 

 

Et quelles sont tes prochaines étapes ?

Prochaine étape : une formation de conseillère en orientation professionnelle qui dure 6 semaines pour un coût de 990€ avec une prise en charge possible par mon CPF.

Je pense également me former à la psychologie des adolescents, j’ai trouvé une formation qui s’étale sur quelques semaines pour un coût de 1650 €. 

 

Quel est ton message pour celle qui hésite à se lancer ? 

N’hésite pas ! Fonce ! 

Mon sourire parle de lui-même, pas besoin d’en rajouter !!!! 

Gwenaëlle Soulier
De l'agence de voyage à la parentalité positive.
"J’ai trouvé un projet clair, vibrant et en adéquation avec mes valeurs et ma Vision."

Qui es-tu ?

Je suis Gwenaëlle, mère célibataire avec deux enfants en garde alternée, des pré-ados.
Je travaille actuellement en agence de voyage.
Je suis forfaitiste, j’organise des voyages pour les groupes, j’ai fait ça toute ma vie.

Mais aujourd’hui, je ne me sens plus vraiment en phase avec les valeurs de ce que je fais.
Depuis un moment déjà — bien un an, un an et demi — je ressens une perte de sens dans mon travail.

Je ne suis plus en adéquation avec les choix et les décisions de ma direction.
Les valeurs de mon entreprise ne me correspondent plus, et les actions mises en place vont même à l’encontre de mes valeurs.

Je ressens un gros sentiment d’injustice dans mon quotidien professionnel.

 

Qu’est-ce qui a fait déclic ?

Ça faisait un moment que je cherchais ce que je pouvais bien faire de ma vie, mais je n’avais aucune idée.

Un ami d’enfance m’a parlé du bilan de compétences.
Mais son expérience à lui ne m’avait pas vraiment donné envie d’en faire un…
jusqu’à ce que je reçoive la newsletter de Mylène, en fin d’année dernière.

J’ai lu le descriptif du bilan de compétences et je me suis dit :
« Mais c’est exactement ça qu’il faut que je fasse ! »

Parce qu’en fait, je ne savais pas ce que je voulais faire.
Je ne savais pas vraiment qui j’étais.

Et avec ce bilan, je me suis dit que j’allais pouvoir prendre le temps de réfléchir,
de me poser les bonnes questions :
« Qu’est-ce qui est important pour moi ? Qu’est-ce que je veux vraiment ? »
pour pouvoir faire un travail qui me correspond.

 

Quel est le point fort du programme pour toi ?

Ce gros travail d’introspection.
Quand on n’a pas d’idée de ce qu’on veut faire, comme c’était mon cas, c’est indispensable.

Même si ça fait longtemps que je lis des livres de développement personnel,
que j’écoute des podcasts,
je savais qu’il fallait prendre le temps de se poser, de réfléchir, de se poser les bonnes questions.

Mais dans notre quotidien, tu bosses, tu fais les courses, tu gères les enfants…
et tu as toujours mieux à faire.
Tu trouves toujours des excuses.

Là, je n’avais pas le choix.

Parce qu’après chaque étape, il fallait que je débriefe avec ma consultante, alors j’étais obligée de le faire.


Et finalement, ce travail était nécessaire.
Je n’ai pas eu d’autre choix que de me lancer pour avancer.

 

Le truc le plus précieux que t’as appris ?

Que je suis capable de faire plein de choses.
Que je peux me lancer et faire un projet qui me convient vraiment.
Et que je vais y arriver !

 

Le projet que tu as choisi et comment tu vas le réussir ?

Le projet que j’ai choisi,
c’est d’accompagner en parentalité et en intelligence émotionnelle.

Mon objectif, c’est d’aider les enfants et leur famille à mieux communiquer, à mieux vivre ensemble, pour permettre à ces enfants de devenir des adultes un peu mieux dans leurs baskets, à qui on aura donné des petits outils pour apprendre à avoir confiance en eux, et à accepter leurs émotions.

Accepter qu’on puisse être triste, que ce n’est pas grave,
que ce n’est pas une mauvaise émotion — simplement, apprendre à la reconnaître et à en faire ce dont elle a besoin.

Maintenant, je vais d’abord étudier un peu le marché,
puis me former, et proposer des ateliers collectifs et individuels,
ainsi que des sensibilisations dans les établissements scolaires ou auprès des professionnels qui travaillent avec des enfants.

L’idée, c’est de planter des petites graines un peu partout autour de nos enfants.

 

Ton message pour celles qui hésitent ?

Il ne faut surtout pas hésiter.
Souvent, on n’hésite pas pour les autres, mais pour soi, oui.

Moi, au début, mon seul objectif c’était de partir vite de mon entreprise, parce que j’en avais vraiment ras-le-bol.

J’avais besoin de faire autre chose, mais je n’avais aucune idée de ce que je pouvais faire.

Et aujourd’hui, alors qu’il y a trois mois je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire de ma vie, et que j’aurais pu accepter n’importe quel boulot juste pour faire autre chose,
j’ai maintenant un vrai projet.

Un projet qui me correspond,
qui correspond à mes valeurs,
et à ma vision de ce que j’ai envie d’apporter autour de moi.

Alors non, il ne faut pas hésiter,
parce qu’en fait, il n’en ressort que du bon. 🌱

Audrey Pallez
Vers une évolution de poste de chef de projet en association.
"Ce qui m’a le plus plu ? La boussole et les questions d’introspection !"

Qui es-tu ?

Je m’appelle Audrey. Mon métier, c’est chef de projet dans une association sur la protection de l’enfance.

Je suis dans cette association depuis deux ans, mais je travaille dans le secteur associatif et de l’enfance depuis maintenant dix-huit ans.

En début d’année, j’ai fait un arrêt de travail pour épuisement professionnel, et j’ai entamé ce bilan de compétences à un moment où j’étais en questionnement, avec une grosse perte de sens et de motivation.

J’avais besoin d’y voir un peu plus clair sur mes envies.

 

Qu’est-ce qui a fait déclic ?

Je connaissais déjà les programmes de Mylène : j’écoute le podcast, je suis la newsletter…

Et quand j’ai vu le bilan de compétences, qui est axé professionnel avec un côté un peu plus personnel, ça m’a tout de suite parlé.

Beaucoup de bilans sont uniquement centrés sur les compétences ou les métiers.

Là, il y avait ce côté “boussole”, des questions plus sur l’introspection, les valeurs, le sens, les besoins.

C’est ça qui m’a vraiment intéressée. Je me suis dit : “Allez, j’y vais !” parce que c’est une méthode un peu différente des autres.

 

Qu’est-ce qui t’a fait hésiter ?

Je n’ai pas tellement hésité sur le bilan en lui-même, mais plutôt sur la démarche.

J’en avais déjà fait un il y a quelques années, qui s’était bien passé, mais j’étais restée sur ma faim.

Et puis, c’est vrai qu’un bilan de compétences n’a pas toujours bonne presse : beaucoup de gens disent que ça ne sert pas à grand-chose.

Donc j’ai hésité à ce niveau-là. Ce qui m’a convaincue, c’est la méthode, l’outil autour de la boussole et les étapes à suivre.

Les fiches sont bien faites, elles obligent vraiment à se poser des questions et à réfléchir sur soi. Si on fait le programme correctement, on peut y passer du temps, mais ça aide vraiment.

 

Quel est le point fort du programme pour toi ?

Je trouve que la proposition d’avoir des échanges en sessions collectives est vraiment intéressante. On ne voit pas ça souvent.

Ça permet d’allier un côté individuel et un côté plus partagé, où on se rend compte que d’autres vivent ou se posent les mêmes questions que nous. C’est toujours intéressant, que ce soit avec les tests ou les échanges.

 

Le truc le plus précieux que t’as appris ?

Ce que j’ai trouvé précieux, c’est que le bilan a mis en lumière des choses que je connaissais déjà un peu de moi, mais ça m’a confortée.

Avant, je voyais certains aspects de ma personnalité comme des défauts ou des faiblesses. Aujourd’hui, je les vois plus comme des forces.

Et avec tout ce qu’on a travaillé — les profils, les tests, les échanges — je me dis que certaines choses peuvent être des forces dans certains domaines, même si dans d’autres ce n’est pas perçu comme ça. 

 

Le projet que tu as choisi et comment tu vas le réussir ?

Mon projet, c’est un projet sur deux ans. Il n’y aura pas forcément de changement radical du jour au lendemain, mais plutôt une évolution progressive.

D’abord, une évolution de poste dans mon association, pour voir si les ajustements que je vais proposer me permettent de retrouver du sens et de la motivation. C’est une première étape.

Et puis, à plus long terme, il y a une ouverture possible vers une reconversion dans le bien-être et l’accompagnement, peut-être en lien avec le travail ou la confiance. Ce sera une nouvelle étape, avec sans doute des formations et un changement de statut. 

 

Ton message à une amie qui hésite à faire ce bilan de compétences ?

Je lui dirais que ça vaut le coup, parce que ça peut aider à clarifier certaines choses sur soi — des choses qu’on a en tête ou pas, des envies, des besoins.

Et ça peut aussi redonner confiance, sur plein d’aspects, de valeurs, de comportements.

Ça permet de mieux s’identifier, de mieux se comprendre et de savoir ce dont on a vraiment besoin.

 

Fanny Pretet
Du contrôle de gestion à la gestion des carrières.
"Enfin, un bilan qui va en profondeur !"

Qui es-tu ?

Je suis contrôleuse de gestion sociale dans la grande distribution.

Il y a un peu moins d’un an, j’ai appris que mon poste allait être supprimé dans le cadre d’un plan social et d’un licenciement économique.

Ça a été un vrai tournant : je me suis posé beaucoup de questions, parce que je me suis rendu compte que j’étais un peu perdue, voire complètement perdue.

Et je me suis dit que c’était peut-être l’occasion de repartir sur quelque chose de neuf.

J’ai donc décidé d’utiliser mon CPF pour faire un bilan de compétences et vraiment me demander : qu’est-ce qui m’anime au quotidien ? Qu’est-ce que j’ai envie de faire ?

Pas simplement continuer dans ce que je sais faire, mais réfléchir à ce que j’ai vraiment envie de faire, à ce qui fait sens pour moi.

 

Quel est le point fort du programme pour toi ?

Ce que j’ai le plus aimé, c’est qu’on ne se concentre pas seulement sur les compétences, mais d’abord sur les valeurs.

On ne part pas du principe que parce qu’on sait faire quelque chose, il faut continuer dans cette voie.

Au contraire, on s’interroge sur nos envies, nos valeurs, sur ce qui nous anime au quotidien.

Et bien sûr, les compétences viennent ensuite s’y raccrocher.

Le programme m’a permis de faire le lien entre les deux — mes valeurs et mes compétences — pour créer un chemin qui me correspond vraiment.

 

Le truc le plus précieux que t’as appris ?

Je me suis réaffirmé le fait que je voulais vraiment trouver un équilibre entre ma vie pro et ma vie perso.

Je le savais déjà au fond de moi, mais le programme m’a aidée à le mettre clairement en avant.

Plus j’avançais dans le bilan, plus ça devenait évident : aujourd’hui, ce que je veux, c’est un bon équilibre.

Ça faisait un moment que j’en parlais, mais là, ça s’est vraiment ancré.

 

Le projet que tu as choisi et comment tu vas le réussir ?

Mon projet, c’est finalement de continuer dans le même type de poste, mais dans une entreprise différente, avec une autre approche de la gestion sociale et de meilleures conditions.

Ce changement va me permettre de retrouver un équilibre vie pro / vie perso, surtout avec un poste plus proche de chez moi.

En parallèle, j’ai aussi envie d’évoluer vers la gestion des carrières et des compétences, parce que j’aime beaucoup ce côté humain : aider les personnes, les accompagner, les faire grandir.

Et, en bonus, je garde un intérêt pour l’aide sociale, même si je sais que les opportunités sont rares dans ce domaine.

 

Ton message pour celles qui hésitent à se lancer ?

Franchement, n’hésite pas.

Tu n’as rien à perdre et tout à y gagner, surtout que le CPF le prend en charge.

C’est une belle occasion de faire le point sur toi, sur tes envies, et de préparer la suite avec plus de clarté et de confiance.

Flavien pretet
De chauffeur de taxi à chef de projet logistique
"Un bilan idéal pour apprendre à se connaître !"

Qui es-tu ?

Je m’appelle Flavien, j’ai 37 ans et je suis chauffeur de taxi. Je suis papa de deux enfants.

 

Qu’est-ce qui t’a amené là ?

Ce qui m’a amené à faire un bilan de compétences, ce sont toutes les problématiques qui ont commencé à arriver dans mon métier : les contraintes administratives, la réglementation du taxi, la circulation, la concurrence déloyale, le manque de soutien de l’État… Tout ça a rendu le quotidien plus difficile.

Et puis, j’ai aussi remarqué que la mentalité des clients avait changé.

Alors, au bout d’un moment, je me suis dit qu’il fallait que je réfléchisse à la suite.

Ça faisait déjà un an que j’avais envie de changer de métier, sans trop savoir comment faire.

Je me suis donc dit que le bilan de compétences serait une bonne façon de valider mes capacités et de voir ce que je pouvais faire d’autre.

 

Qu’est-ce qui a fait déclic ?

Le déclic, ça a été de me dire que c’était le bon moment pour me recentrer sur moi.

Ma sœur avait déjà fait le programme, alors je me suis lancé.

Ce bilan m’a permis de casser certains préjugés que j’avais sur ce type de démarche — notamment parce que le programme est assez tourné vers les femmes.

Mais finalement, ça m’a fait du bien aussi, de découvrir un côté plus sensible, plus à l’écoute.

J’ai pu ressortir des choses sur moi, apprendre à me connaître autrement, et c’était une belle expérience.

 

Quel est le point fort du programme pour toi ?

Le point fort du programme, c’est justement ce recentrage sur soi.

Le fait de se poser, de réfléchir à ses valeurs, à ses qualités, à ses envies.

Ça m’a aidé à mieux comprendre ce qui m’anime. J’ai trouvé ça très enrichissant, même si au début je n’étais pas sûr d’être à ma place.

Finalement, ça m’a permis de valider des choses sur moi, de prendre confiance et d’avancer.

 

Le truc le plus précieux que t’as appris ?

Ce que j’ai appris, c’est à mieux me connaître.

Ça peut paraître un peu égoïste, mais ça m’a permis de comprendre mes qualités, mes valeurs, et de les valider grâce au bilan.

Je ne les connaissais pas forcément toutes, et ça m’a vraiment aidé à les mettre en lumière.

 

Le projet que tu as choisi et comment tu vas le réussir ?

Aujourd’hui, j’ai deux pistes principales : soit devenir chef de projet dans la logistique ou le transport, soit me diriger vers l’industrie, notamment dans la gestion de chaîne logistique.

Je vais commencer par explorer ces options, voir quelles compétences de mon métier actuel je peux valoriser, et mettre à jour mon CV.

L’idée, c’est de retrouver de la motivation et de construire un projet concret à partir de ce que j’ai déjà acquis.

 

Ton message pour celles et ceux qui hésitent à se lancer ?

Franchement, oublie les préjugés.

Vas-y, ça fait du bien !

Tu n’as rien à perdre, au contraire, tu apprendras à te connaître et à te redécouvrir.

Laurence Leuillier
De la création à la décoration de mariage !
“Grâce à la boussole, je me suis redécouverte.”

Qui es-tu en quelques mots ?

Je m’appelle Laurence, j’ai 55 ans. Avant d’entrer dans ce programme, j’étais depuis une dizaine d’années dans le monde de la création comme micro-entrepreneure.

 

Qu’est-ce qui t’a amenée au programme Bilan de compétences CAP ?

J’ai commencé par le programme Expérience.

J’avais besoin de me reconnecter à la personne que j’étais, car j’étais un peu perdue au niveau professionnel.

Et quand j’ai découvert le bilan de compétences CAP proposé par Mylène, par hasard, j’ai foncé… Je me suis dit que c’était un signe !

 

Qu’est-ce qui a fait déclic pour toi ?

Mylène a su trouver les mots…

Sa façon d’amener les choses… pour moi, c’était exactement ça. 

C’était LE bon moment !

 

Qu’est-ce qui t’a fait hésiter ?

Le côté financier, car je n’avais pas d’accès au CPF…
Et puis, comme on a accès à différents moyens de paiement, ça a quand même été plus facile pour moi. Ce n’était pas irréalisable !

 

Quel a été le point fort du programme pour toi ?

La redécouverte de qui je suis réellement, avec cette petite boussole qu’on va compléter au fur et à mesure.

J’ai eu l’impression de me redécouvrir, car parfois, dans notre parcours professionnel, on oublie certaines choses, la tête dans le quotidien.

Cette boussole nous permet de nous reconnecter à nous.

Je pense qu’au fond de moi, je savais vers quoi j’allais m’orienter, mais j’avais perdu cette petite lueur. Et là, je l’ai retrouvée.
Ça m’a permis de repartir sur le chemin, et ça, c’est vraiment précieux.

 

Quel est ton projet aujourd’hui ?

Il y a deux métiers qui sont ressortis, qui me correspondent totalement.

D’abord, il y a formatrice dans la restauration et l’hôtellerie : j’y ai travaillé pendant 22 ans, dont 13 ans d’expérience en Grande-Bretagne. J’ai toujours été dans la formation dans mon ancien métier, et ça m’a toujours beaucoup plu.

Et puis, il y a cet aspect décoration : je suis très branchée décoration, décoration d’intérieur, rénovation de meubles… Je suis passionnée par ça.
Et la décoration de mariage, ça me fait complètement vibrer.

 

Comment vas-tu organiser cette évolution ?

J’ai besoin d’une formation pour être reconnue vis-à-vis de mes futurs clients.
J’ai trouvé une formation qui est très complète, qui va jusqu’à la création de l’entreprise, du marketing, mais aborde aussi le cœur de métier.

Donc oui, ça se finance. Je vais me tourner vers des opérateurs et trouver des solutions pour pouvoir être financée.
Et si je ne trouve pas, il y aura d’autres solutions !

 

Quel est ton message pour celles qui hésitent ?

Je leur dirais surtout de ne pas hésiter.
Parce que faire un bilan, ce n’est pas seulement une remise en question, ça peut être aussi un autre regard sur nos compétences, et sur nous-mêmes.

Ce bilan est très novateur, hyper motivant, donc il faut foncer, ne pas se poser de questions.
Si j’ai un conseil à donner : écoutez-vous !

 

Le mot de la fin ?

Moi, j’ai la chance, comme je l’ai dit tout à l’heure, de suivre également le programme Expérience en parallèle.

(Note : notre programme d’auto-coaching à découvrir depuis notre autre site Les défis des filles zen!)

J’ai fait les deux, et c’est vraiment complémentaire comme ça. Pour moi, ça se fusionne, ça fait bouger plein de choses… dans la vie personnelle et dans la vie professionnelle.

Je pense que c’est essentiel. Parce que pour qu’une personne fonctionne bien, il faut penser au côté humain ET au côté professionnel : c’est un tout indissociable.

Agathe Agostini
De juriste à psychomotricienne !
« À 48 ans, on peut encore se reconvertir, il n’est pas trop tard ! »

Qui es-tu en quelques mots ?

Je suis juriste en entreprise depuis une quinzaine d’années. J’étais dans la même société depuis vingt ans, dans une entreprise du secteur industriel.

 

Qu’est-ce qui t’a amenée à faire ce bilan de compétences ?

Depuis de nombreuses années, j’avais en tête de faire un bilan de compétences.

J’avais déjà tenté une première approche il y a neuf ans, auprès d’un autre organisme, mais on m’avait découragée en me disant que, sans projet de reconversion clair, ce n’était pas la peine.

Alors les années ont passé, mais de temps en temps, l’idée revenait.

 

Qu’est-ce qui a fait déclic pour toi ?

Je suivais déjà Mylène depuis un moment — via YouTube, la newsletter, les mails…

Et au mois de mai, j’ai assisté à l’une de ses conférences en ligne.

C’est là que j’ai eu le déclic : je me suis dit qu’il fallait y aller, qu’il était temps de me lancer.

Ça faisait déjà quelques mois que je ressentais un vrai malaise dans mon travail.

J’étais angoissée, je ne me sentais pas bien, et j’avais besoin de redonner du sens à ce que je faisais. Je me suis dit que si je ne le faisais pas maintenant, je ne le ferais jamais.

Alors je me suis inscrite, et je me suis dit : “Allons-y, voyons ce que ça donne.”

 

Le point fort du programme ?

Ce n’est pas un bilan de compétences classique.

Ce que j’ai trouvé très différent, c’est la qualité de l’accompagnement individuel.

Même à distance, il y a un vrai lien, un vrai échange régulier.

Ça m’a beaucoup rassurée et aidée à rester motivée tout au long du parcours.

 

La chose la plus précieuse que tu as apprise ?

La chose la plus précieuse que j’ai apprise, c’est qu’à 48 ans, on peut encore se reconvertir.

Ce n’est pas trop tard.

On peut ouvrir de nouveaux horizons, de nouvelles portes, et élargir le champ des possibles.

 

Quel est ton projet aujourd’hui ?

Parmi les métiers qui sont ressortis, il y a ceux de l’éducation sensorielle, du service social, des ressources humaines ou encore de l’accompagnement.

Mais celui qui m’a vraiment interpellée, c’est le métier de psychomotricienne — un domaine que je ne connaissais pas du tout avant.

Au fil des échanges, je me suis de plus en plus intéressée à ce métier : j’ai fait beaucoup de recherches, écouté des podcasts, découvert des écoles.

J’en ai d’ailleurs trouvé une qui me semble idéale, que j’ai déjà contactée.

J’ai pu rejoindre un groupe Facebook d’échanges entre personnes en reconversion, et définir un plan d’action : une remise à niveau en biologie, la constitution d’un dossier, une préparation à l’entretien oral que j’aurai l’année prochaine.

 

Ton message pour celles qui hésitent à se lancer ?

Lancez-vous ! Vous avez tout à y gagner, et vous ne serez pas déçue.

Vous allez découvrir des possibilités d’orientation auxquelles vous n’auriez peut-être jamais pensé.

Franchement, je recommande le bilan CAP.